mercredi 29 avril 2020

Un vaccin nasal contre le COVID19





Il y a fort à parier qu’aucun vaccin INJECTABLE  ne sera vraiment efficace contre le COVID-19. Pour la bonne et simple raison que ce virus est en constante mutation et s’adapte en permanence. Il se comporte comme l'ensemble des rhinovirus. capables de muter dans les fosses nasales, il s'y réplique et peut y persister des mois et des mois.  
Alors Une question se pose néanmoins : pourquoi, dès le début de l’épidémie, ne pas avoir créé un vaccin nasal à partir de souches du virus mort ou inactivé ? Et est-ce si compliqué à faire ? Cela aurait eu pour mérite de vérifier si une telle mesure généralisée donnait une immunité durable.

mardi 28 avril 2020

COVID19 - IEC et morsure d'un serpent


Aux Etats-Unis, des médecins ont constaté chez certains patients atteints par le COVID19, la formation de caillots dans des vaisseaux sanguins. il y a alors asphyxie des membres.


Cela m’amène à un commentaire analogique entre le COVID19 , le serpent Bothrops jararaca (serpent fer de lance brésilien) et certaines classes d’anti-hypertenseurs.


Ne serait-ce pas les patients traités pour leur hypertension avec un médicament du type inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine(IEC) qui auraient justement cette forme grave de coagulation intravasculaire (caillots sanguins) disséminé ? car cela ressemble bien à ce que provoque ce serpent !

Or

1 : Comme les IEC ont une structure apparentée à celle d'un peptide isolé à partir du venin de ce serpent brésilien.  

2 : et comme sous l’effet des IEC, un ARNm sur lequel se fixe le virus est surexprimé dans le cœur et le système cardiovasculaire.

3 : Alors le virus ne provoquerait-il pas une surréaction de l'organisme non pas au virus mais au médicament en question qui déclencherait alors une coagulation du système sanguin identique à celle provoquée par la morsure du serpent  ?



Je ne fais que poser la question ? certains peuvent ils me répondre ? 
il serait très intéressant d'avoir la réponse à ma question : merci de la faire circuler  

Un médicament efficace contre le COVID ?



Une annonce un peu prématurée fait croire  qu’un anticorps monoclonal destiné à faire chuter l’immunité serait efficace contre le COVID : de quoi alimenter la polémique entre les tenants des antiviraux et ceux qui préconisent la chloroquine ! Ce n’est pas un antiviral et il ne guérit absolument pas du COVID ! Tout ce qu’on peut espérer si l’étude est bonne, c’est qu’il évite une aggravation majeure. Mais on peut en douter.

Il s’agit en fait d’une pré-étude clinique qui ne porte que sur les formes sévères de la maladie. Les chercheurs ne cherchaient pas à prouver la guérison mais simplement à limiter les risques d’aggravation. En effet, comme dans tout essai clinique et afin de valider une indication thérapeutique on va évaluer un critère principal et un critère secondaire.

On pourrait s’attendre à ce que le critère principal soit la guérison des malades : Or, ce n’est pas le cas. Le critère principal choisi - et je cite- est : « le besoin de ventilation (mécanique ou non invasive) ». Autrement dit, on cherche à savoir si ce médicament empêche les patients d’avoir recours à une ventilation. Il ne traite pas du tout la maladie, il pourrait simplement en réduire le risque évolutif.

Ce qui est surprenant c’est que des journalistes en déduisent qu’il soigne la maladie !

On peut se poser aussi des questions sur les traitements associés qui ont fait partie de l’étude. Puisque on ne précise pas quels sont ces traitements. Elle porte en fait sur 65  patients qui ont eu un traitement habituel associé au tocilizumab (c’est le nom de ce médicament - j'avais d'abord cru lire toxicolizumab) comparé à 64 autres patients avec le traitement habituel. La conclusion n’a donc porté que sur le critère de jugement principal, la ventilation : celle-ci aurait été nécessaire chez une proportion significativement plus faible de patients pour ceux traités au tocilizumab.

En conclusion, on peut simplement dire que ce produit immunosuppresseur combat les réactions immunitaires de l’organisme. C’est logique si l’on prend pour hypothèse que c’est la réaction trop forte du système immunitaire qui cause l’aggravation. Mais il ne s’agit là que d’une  hypothèse.

En tout cas ce médicament n’est pas un antiviral et il ne protège pas de la plupart des complications liées au virus. Et il est anormal d’avoir fait une campagne publicitaire pour faire croire à son efficacité en donnant de faux espoirs aux malades. Espérons simplement qu’il évite effectivement le passage en ventilation assistée.

Quoi qu’il en soit, vu ses effets secondaires, ce produit n’est pas indiqué dans les formes légères : car il peut favoriser des infection des voies respiratoires supérieures (plus de 10% des patients), rhinopharyngite (rhume), maux de tête, et une pression artérielle élevée (au moins 5%), des perforations gastro-intestinales (0,26%) et l'anaphylaxie (0,2%) [16].



dimanche 26 avril 2020

AVIS DE L'ANSES PLANTES ET COVID

Si vous avez entendu parlé de l'avis de l'ANSES sur les compléments alimentaires, les plantes et le COVID vous devez vous poser des questions : voici en deux mots ce qu'on peut dire de cet avis et que je développerai par la suite :

Ce rapport est très bien fait / c'est la conclusion qui pose problème 

Il commence par dénoncer les risques des anti-inflammatoires stéroïdiens et non stéroïdiens, puis évoque les question des antihypertenseurs .. sans que cela soit très clair ....
puis il décrit les vertus curatives de très nombreuses plantes , y compris de certaines qui seraient actives contre le COVID.

Mais pour finir : la conclusion est surprenante :  je cite :

"L’ANSES met en garde contre la consommation de compléments alimentaires pouvant perturber la réponse immunitaire"

Qu'entendent-ils par "perturber la réponse immunitaire ?"

La conclusion tord la réalité  : et il y a une flagrante contradiction :
ce rapport montre les effets bénéfiques des plantes pour ensuite les dénigrer et cela sonne, aux yeux du public non averti,  comme une condamnation !


En fait ce rapport est un procès à charge contre les plantes. 

C'est un peu comme si le procureur du tribunal ventait les mérites de l'accusé (les plantes) tout en dénonçant le coupable (certains anti-hypertenseurs  et les anti-inflammatoires chimiques)  .. pour finalement demander la condamnation des plantes parce qu'elles soignent !! et pour mieux les interdire de soigner le COVID !!
 

Au moins ce texte a le mérite de dire que les plantes ont autant d'effets que les médicaments !! si ce n'est mieux !  mais ce qui est gênant, c'est que la loi française est ainsi faite qu'on a pas le droit de dire qu'elles peuvent soigner (et guérir) vu que ce sont des compléments alimentaires et pas des médicaments ! 

On peut simplement regretter une chose :  l'absence de phytothérapeute ou de médecin nutritionniste dans le groupe de travail qui a rédigé ce rapport au demeurant très intéressant. 

voir le rapport 

Voir sur mon blog plus d'explications simples sur le COVID : son origine , les risques, etc 
 
ps :
voici la liste des participants à ce rapport MembresMme Sabrina BOUTEFNOUCHET MCU (Université de Paris) Spécialité: pharmacognosie M. Pierre CHAMPY PU (Université Paris-Saclay) Spécialité: pharmacognosie M. Serge MICHALET MCU (Université Claude Bernard, Lyon I) Spécialité: pharmacognosie Mme Dominique Angèle VUITTON Retraitée, PU-PH émérite (Université Bourgogne Franche-Comté) Spécialités: immunologie clinique/allergologie, médecine interne/hépato-gastro-entérologieM. Bernard WENIGER Retraité, MCUhonoraire(Université de Strasbourg) Spécialité: pharmacognosiePARTICIPATION ANSESCoordination scientifiqueM. Aymeric DOPTER Adjoint au chef de l’unité d’évaluation des risques liésà la nutrition.

 enfin le site où sont les déclarations de lien d'intérêt

samedi 25 avril 2020

COVID19 : une pandémie qui pose de nombreuses questions


COVID19 : une pandémie qui pose de nombreuses questions 


Les nombreuses questions que soulève la pandémie du COVID19 m’ont conduit à  faire part de mon avis que voici :


  1 ) Sur l’origine du virus  :

      Les coronavirus sont des virus généralement inoffensifs. Chacun de nous les rencontre plusieurs fois dans sa vie, et cela ne génère que de petits rhumes. Parfois même, cela n’entraîne aucun symptôme.
Ce virus – on devrait parler d’entité virale - ne peut vivre que grâce à l’hôte qu’il contamine. Chaque virus a une affinité particulière pour un organe, un tissu, chez l’animal comme chez l’homme. La volonté de cette entité virale possède sa propre intelligence. Elle ne « désire » pas détruire l’hôte qui l’abrite car ce serait suicidaire. Les virus vivent donc en général en sympathie avec les règnes végétaux et animaux. Ils s’adaptent pour ne pas détruire les plantes, les animaux, et les humains. Alors pourquoi deviennent-ils parfois agressifs ? À cette question, il est difficile de répondre.
Dans le cas du Coronavirus auquel on a donné le nom de covid-19, tout se passe autrement ; et l’on peut se demander pourquoi. Pourquoi y aurait-il dans ce virus des brins d’ADN du virus du VIH (si l’on en croit le professeur Montagnier, prix Nobel, découvreur du virus du SIDA) ? Les soupçons se portent sur des manipulations qui auraient été réalisées à partir de virus de chauve-souris : des modifications réalisées par des apprentis sorciers dans un laboratoire en Chine situé à proximité du marché où les premiers cas de covid-19 furent détectés ! Si tel est le cas, si ce virus est une manipulation, on comprend pourquoi l’organisme humain peut mal réagir lorsqu’il est contaminé. Ce n’est plus un virus qui se serait adapté avec le temps à l’organisme humain. Il serait le fruit d’une mutation génétique pathogène créée de toute pièce par des fous dangereux.
Si manipulations il y a eu : quelles en étaient les raisons ? Les chercheurs de ce laboratoire voulaient-il créer une nouvelle souche virulente pour déposer un brevet ? Et ainsi pouvoir développer un vaccin et des kits de dosages pour en récupérer les royalties ? Mystère ! On ne le saura jamais ! S’il y avait des brins de VIH, c’est peut-être parce qu’ils cherchaient à se servir de ce virus au départ inoffensifs pour créer un vaccin anti VIH ? C’est raté ! Et on en voit les conséquences.



2 ) Qu'est ce qui provoque les formes graves du COVID-19 ?




Si l’on en croit les médias qui relaient l’information médicale, les formes graves toucheraient avant tout les personnes âgées, et les sujets présentant des risque comme : obésité, hypertension, baisse de l’immunité. Mais est-ce que tout est révélé ? Sûrement pas ! Certaines publications scientifiques ont montré d’autres facteurs de risque associés : liées à certains médicaments et à la vaccination grippale.
Plusieurs classes de médicaments sont susceptibles d’aggraver énormément la pathologie : ceci a été démontré pour les anti-inflammatoires stéroïdiens (corticoïdes) et non stéroïdiens (Ibuprofène, Ketoprofene, etc.) car ils déclenchent des réactions vasculaires pathologiques, sans que l’on sache trop pourquoi.
Deux classes d’antihypertenseurs sont également suspectes, mais cela a été négligé, pour ne pas dire occulté par les autorités. De peur que les patients n’arrêtent d’eux même ces traitements qui leur sont indispensables. Il s’agit des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et des Sartans. Plusieurs publications scientifiques ont été réalisées à ce sujet : Elles montreraient que ces médicaments favoriseraient l’augmentation de certains récepteurs du COVID sur le muscle cardiaque. Tout en bloquant des récepteurs régulateurs de la tension, ils favoriseraient l’accumulation dans l’organisme d’une substance, la BRADYKINE : Alors que cette substance naturelle est inoffensive et même bénéfique pour l’organisme ; lorsqu’elle est libérée en trop grande quantité, elle provoque un choc qui ressemble énormément à ce qui conduit les gens en soins intensifs : constriction des bronches  et encombrement par augmentation du mucus qui fait que les gens sont encombrés et ne peuvent pas expectorer. Dilatation des capillaires et chutes de tension. Extravasation du liquide qui produit des œdèmes généralisés notamment pulmonaires. Ces pauvres gens se retrouvent en fin de compte avec un tableau de coagulation intravasculaire disséminée (le sang stagne et coagule dans les petits vaisseaux). Ceci n’est pas sans rappeler d’ailleurs les conséquences de la morsure d’un certain serpent brésilien, dont les molécules du venin ont servi de base à la synthèse de certains de ces antihypertenseurs. Le virus ne serait qu’indirectement coupable. Il se fixe là où il peut. Mais comme on lui libère des récepteurs en trop grande quantité : dans le cœur, dans le cerveau, dans les bronches, il déclenche cette cascade de réactions préjudiciables aux patients à risque. Tout ceci bien entendu n’est qu’hypothèse mais pourquoi personne n’a pu soulever ce problème éventuel ? En dehors de quelques scientifiques qui ont pourtant publié la chose ! pourquoi ne pas avoir conseillé de changer de classe d’antihypertenseur, le temps que l’épidémie soit enrayée ? 

D’autres traitements peuvent aggraver la situation : il s’agit notamment de ceux qui font chuter l’immunité et que l’on appelle biothérapies. Ces médicaments non de bio que le nom ! Il s’agit d’anticorps monoclonaux créés de toutes pièces par génie génétique à partir de chimères génétiquement modifiées de souris ! On les utilise dans le psoriasis, les maladies auto-immunes graves comme la rectocolite ou le rhumatisme poly-arthritique. Les personnes qui reçoivent ces injections sont bien prévenues des risques qu’elles courent du fait de cette chute d’immunité. Il est donc important de prendre des mesures de sauvegarde pour elles. 
Mais que penser de ceux qui ont tout fait pour généraliser l’utilisation de ces médecines (notamment dans certaines formes de psoriasis inesthétique mais peu graves) sans tenir compte du bénéfice/risque.

Une autre publication a attiré mon attention. Elle est assez récente : publiée en décembre dernier, il s’agit d’une étude menée dans les années 2017 - 2018 ; elle a été faite aux États-Unis. Les chercheurs se sont intéressés à l’influence de la vaccination antigrippale sur la susceptibilité de l’organisme à être contaminé par d’autres virus respiratoires. À l’époque on ne parlait pas encore du COVID. Or la publication montre que les personnes vaccinées contre la grippe sont beaucoup plus sensibles aux autres virus respiratoires et notamment au Coronavirus. On peut donc se demander si dans les maisons de retraite ce ne serait pas une des raisons également de l’aggravation des malades.

3) Et la vaccination dans tout ça ? 





Il y a fort à parier qu’aucun vaccin ne sera vraiment efficace contre le COVID-19. Ceux qui espéraient pouvoir vacciner tous les ans les personnes à risque et le corps médical comme on le fait pour la grippe en seront pour leurs frais ! Pour la bonne et simple raison que ce virus est en constante mutation et s’adapte en permanence. Ce qu’il faut espérer c’est qu’il perde les brins d’ADN qui font sa virulence et devienne de ce fait moins agressif et mieux supporté par l’hôte humain qui l’abrite.
Une question se pose néanmoins : pourquoi, dès le début de l’épidémie, ne pas avoir créé un vaccin nasal à partir de souches du virus mort ou inactivé ? Et est-ce si compliqué à faire ? Cela aurait eu pour mérite de vérifier si une telle mesure généralisée donnait une immunité durable.

4) Et les antiviraux et la chloroquine ?


On assiste à une course à l’armement, un peu comme quand on est en guerre, ce qui semble être le cas ! Ceci dit, même s’il est vrai que la chloroquine agit sur les virus, il n’est pas certain qu’il faille la généraliser, vu que la pathologie passe souvent inaperçue et que ce médicament n’est pas dénué de risque. L’idée de la réserver aux services hospitaliers paraît raisonnable mais encore faut-il définir à quel stade l’utiliser ?
Il en va de même des antiviraux utilisés classiquement contre le VIH et dont certains dans le cas de cette pathologie pourraient se révéler plus dangereux qu’efficaces ! L’avenir nous le dira. Aux dernières nouvelles l’un des antiviraux qui est soutenu par les détracteurs du professeur Raoult ne serait pas efficace et il serait même plutôt dangereux.



5) Et des médecines naturelles ?




Par médecine naturelle, il faut entendre les compléments alimentaires naturels et les plantes médicinales. Beaucoup n’ont pas attendu pour en utiliser certaines avec succès. On sait en effet que bien des plantes ont des vertus antivirales, notamment par leurs huiles essentielles. A ce sujet , il est incompréhensible que certains fassent un amalgame entre des plantes anti-inflammatoires et stimulantes de l’immunité, et les anti-inflammatoires médicamenteux dont on sait la dangerosité dans cette pathologie. Car rien n’a été prouvé dans ce domaine. Je pense notamment à la camomille, à l’échinacea, etc. je me demande si ceux qui ont déclenché cette polémique savent ce dont ils parlent ?
En conclusion (temporaire) : cette pandémie aura eu le mérite de révéler certaines insuffisances, tant au niveau de la communication, que de l’impuissance généralisée à gérer un phénomène qui pourrait dans les années à venir se répéter et s’amplifier.




mercredi 22 avril 2020

Docteur Paul Dupont
Ancien Interne des hôpitaux, ancien chef de clinique, intéressé depuis toujours par les médecines naturelles, de nombreuses personnes me demandent fréquemment  mon avis sur divers sujets de santé ou d'actualité ; ce blog est donc destiné à leur répondre :

Fin de l’omerta sur les effets secondaires des vaccins ARNm

  Il n’est plus possible de cacher au public les risques que l’on court à se faire vacciner par le vaccin ARNm.?? Il n’est plus possible d...