COVID19 : une pandémie qui pose de nombreuses questions
Les nombreuses questions que soulève la
pandémie du COVID19 m’ont conduit à faire part de mon avis
que voici :
Les coronavirus
sont des virus généralement inoffensifs. Chacun de nous les rencontre plusieurs
fois dans sa vie, et cela ne génère que de petits rhumes. Parfois même, cela
n’entraîne aucun symptôme.
Ce virus – on devrait parler d’entité virale - ne peut vivre
que grâce à l’hôte qu’il contamine. Chaque virus a une affinité particulière
pour un organe, un tissu, chez l’animal comme chez l’homme. La volonté de cette
entité virale possède sa propre intelligence. Elle ne « désire » pas
détruire l’hôte qui l’abrite car ce serait suicidaire. Les virus vivent donc en
général en sympathie avec les règnes végétaux et animaux. Ils s’adaptent pour
ne pas détruire les plantes, les animaux, et les humains. Alors pourquoi
deviennent-ils parfois agressifs ? À cette question, il est difficile de
répondre.
Dans le cas du Coronavirus auquel on a donné le nom de
covid-19, tout se passe autrement ; et l’on peut se demander pourquoi.
Pourquoi y aurait-il dans ce virus des brins d’ADN du virus du VIH (si l’on en
croit le professeur Montagnier, prix Nobel, découvreur du virus du SIDA) ?
Les soupçons se portent sur des manipulations qui auraient été réalisées à
partir de virus de chauve-souris : des modifications réalisées par des
apprentis sorciers dans un laboratoire en Chine situé à proximité du
marché où les premiers cas de covid-19 furent détectés ! Si tel est le cas, si
ce virus est une manipulation, on comprend pourquoi l’organisme humain peut mal
réagir lorsqu’il est contaminé. Ce n’est plus un virus qui se serait adapté
avec le temps à l’organisme humain. Il serait le fruit d’une mutation génétique
pathogène créée de toute pièce par des fous dangereux.
Si manipulations il y a eu : quelles en étaient les
raisons ? Les chercheurs de ce laboratoire voulaient-il créer une nouvelle
souche virulente pour déposer un brevet ? Et ainsi pouvoir développer un vaccin et des kits de dosages pour en récupérer les
royalties ? Mystère ! On ne le saura jamais ! S’il y avait des
brins de VIH, c’est peut-être parce qu’ils cherchaient à se servir de ce virus
au départ inoffensifs pour créer un vaccin anti VIH ? C’est raté ! Et on en
voit les conséquences.
2 ) Qu'est ce qui provoque les formes graves du COVID-19 ?
Si l’on en croit les médias qui relaient l’information médicale, les formes
graves toucheraient avant tout les personnes âgées, et les sujets présentant
des risque comme : obésité, hypertension, baisse de l’immunité. Mais
est-ce que tout est révélé ? Sûrement pas ! Certaines publications
scientifiques ont montré d’autres facteurs de risque associés : liées à
certains médicaments et à la vaccination grippale.
Plusieurs classes de médicaments sont susceptibles
d’aggraver énormément la pathologie : ceci a été démontré pour les
anti-inflammatoires stéroïdiens (corticoïdes) et non stéroïdiens (Ibuprofène,
Ketoprofene, etc.) car ils déclenchent des réactions vasculaires pathologiques,
sans que l’on sache trop pourquoi.
Deux classes d’antihypertenseurs sont également suspectes, mais cela a été négligé, pour ne pas dire occulté par les autorités. De peur que les patients n’arrêtent d’eux même ces traitements qui leur sont indispensables. Il s’agit des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et des Sartans. Plusieurs publications scientifiques ont été réalisées à ce sujet : Elles montreraient que ces médicaments favoriseraient l’augmentation de certains récepteurs du COVID sur le muscle cardiaque. Tout en bloquant des récepteurs régulateurs de la tension, ils favoriseraient l’accumulation dans l’organisme d’une substance, la BRADYKINE : Alors que cette substance naturelle est inoffensive et même bénéfique pour l’organisme ; lorsqu’elle est libérée en trop grande quantité, elle provoque un choc qui ressemble énormément à ce qui conduit les gens en soins intensifs : constriction des bronches et encombrement par augmentation du mucus qui fait que les gens sont encombrés et ne peuvent pas expectorer. Dilatation des capillaires et chutes de tension. Extravasation du liquide qui produit des œdèmes généralisés notamment pulmonaires. Ces pauvres gens se retrouvent en fin de compte avec un tableau de coagulation intravasculaire disséminée (le sang stagne et coagule dans les petits vaisseaux). Ceci n’est pas sans rappeler d’ailleurs les conséquences de la morsure d’un certain serpent brésilien, dont les molécules du venin ont servi de base à la synthèse de certains de ces antihypertenseurs. Le virus ne serait qu’indirectement coupable. Il se fixe là où il peut. Mais comme on lui libère des récepteurs en trop grande quantité : dans le cœur, dans le cerveau, dans les bronches, il déclenche cette cascade de réactions préjudiciables aux patients à risque. Tout ceci bien entendu n’est qu’hypothèse mais pourquoi personne n’a pu soulever ce problème éventuel ? En dehors de quelques scientifiques qui ont pourtant publié la chose ! pourquoi ne pas avoir conseillé de changer de classe d’antihypertenseur, le temps que l’épidémie soit enrayée ?
Deux classes d’antihypertenseurs sont également suspectes, mais cela a été négligé, pour ne pas dire occulté par les autorités. De peur que les patients n’arrêtent d’eux même ces traitements qui leur sont indispensables. Il s’agit des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et des Sartans. Plusieurs publications scientifiques ont été réalisées à ce sujet : Elles montreraient que ces médicaments favoriseraient l’augmentation de certains récepteurs du COVID sur le muscle cardiaque. Tout en bloquant des récepteurs régulateurs de la tension, ils favoriseraient l’accumulation dans l’organisme d’une substance, la BRADYKINE : Alors que cette substance naturelle est inoffensive et même bénéfique pour l’organisme ; lorsqu’elle est libérée en trop grande quantité, elle provoque un choc qui ressemble énormément à ce qui conduit les gens en soins intensifs : constriction des bronches et encombrement par augmentation du mucus qui fait que les gens sont encombrés et ne peuvent pas expectorer. Dilatation des capillaires et chutes de tension. Extravasation du liquide qui produit des œdèmes généralisés notamment pulmonaires. Ces pauvres gens se retrouvent en fin de compte avec un tableau de coagulation intravasculaire disséminée (le sang stagne et coagule dans les petits vaisseaux). Ceci n’est pas sans rappeler d’ailleurs les conséquences de la morsure d’un certain serpent brésilien, dont les molécules du venin ont servi de base à la synthèse de certains de ces antihypertenseurs. Le virus ne serait qu’indirectement coupable. Il se fixe là où il peut. Mais comme on lui libère des récepteurs en trop grande quantité : dans le cœur, dans le cerveau, dans les bronches, il déclenche cette cascade de réactions préjudiciables aux patients à risque. Tout ceci bien entendu n’est qu’hypothèse mais pourquoi personne n’a pu soulever ce problème éventuel ? En dehors de quelques scientifiques qui ont pourtant publié la chose ! pourquoi ne pas avoir conseillé de changer de classe d’antihypertenseur, le temps que l’épidémie soit enrayée ?
D’autres traitements peuvent
aggraver la situation : il s’agit notamment de ceux qui font chuter l’immunité et
que l’on appelle biothérapies. Ces médicaments non de bio que le nom ! Il
s’agit d’anticorps monoclonaux créés de toutes pièces par génie génétique à
partir de chimères génétiquement modifiées de souris ! On les utilise dans
le psoriasis, les maladies auto-immunes graves comme la rectocolite ou le
rhumatisme poly-arthritique. Les personnes qui reçoivent ces injections sont
bien prévenues des risques qu’elles courent du fait de cette chute d’immunité.
Il est donc important de prendre des mesures de sauvegarde pour elles.
Mais que penser de ceux qui ont tout fait pour généraliser l’utilisation de ces médecines (notamment dans certaines formes de psoriasis inesthétique mais peu graves) sans tenir compte du bénéfice/risque.
Mais que penser de ceux qui ont tout fait pour généraliser l’utilisation de ces médecines (notamment dans certaines formes de psoriasis inesthétique mais peu graves) sans tenir compte du bénéfice/risque.
Une autre publication a attiré
mon attention. Elle est assez récente : publiée en décembre dernier, il
s’agit d’une étude menée dans les années 2017 - 2018 ; elle a été faite
aux États-Unis. Les chercheurs se sont intéressés à l’influence de la
vaccination antigrippale sur la susceptibilité de l’organisme à être contaminé
par d’autres virus respiratoires. À l’époque on ne parlait pas encore du COVID.
Or la publication montre que les personnes vaccinées contre la grippe sont
beaucoup plus sensibles aux autres virus respiratoires et notamment au
Coronavirus. On peut donc se demander si dans les maisons de retraite ce ne
serait pas une des raisons également de l’aggravation des malades.
3) Et la vaccination dans tout ça ?
Il y a fort à parier qu’aucun vaccin ne sera vraiment efficace contre le
COVID-19. Ceux qui espéraient pouvoir vacciner tous les ans les personnes à
risque et le corps médical comme on le fait pour la grippe en seront pour leurs
frais ! Pour la bonne et simple raison que ce virus est en constante
mutation et s’adapte en permanence. Ce qu’il faut espérer c’est qu’il perde les
brins d’ADN qui font sa virulence et devienne de ce fait moins agressif et
mieux supporté par l’hôte humain qui l’abrite.
Une question se pose néanmoins : pourquoi, dès le début de
l’épidémie, ne pas avoir créé un vaccin nasal à partir de souches du virus mort
ou inactivé ? Et est-ce si compliqué à faire ? Cela aurait eu pour
mérite de vérifier si une telle mesure généralisée donnait une immunité
durable.
4) Et les antiviraux et la chloroquine ?
On assiste à une course à l’armement, un peu comme quand on
est en guerre, ce qui semble être le cas ! Ceci dit, même s’il est vrai
que la chloroquine agit sur les virus, il n’est pas certain qu’il faille la
généraliser, vu que la pathologie passe souvent inaperçue et que ce médicament
n’est pas dénué de risque. L’idée de la réserver aux services hospitaliers
paraît raisonnable mais encore faut-il définir à quel stade l’utiliser ?
Il en va de même des antiviraux utilisés classiquement contre le VIH et dont certains dans le cas de cette pathologie pourraient se révéler plus dangereux qu’efficaces ! L’avenir nous le dira. Aux dernières nouvelles l’un des antiviraux qui est soutenu par les détracteurs du professeur Raoult ne serait pas efficace et il serait même plutôt dangereux.
Il en va de même des antiviraux utilisés classiquement contre le VIH et dont certains dans le cas de cette pathologie pourraient se révéler plus dangereux qu’efficaces ! L’avenir nous le dira. Aux dernières nouvelles l’un des antiviraux qui est soutenu par les détracteurs du professeur Raoult ne serait pas efficace et il serait même plutôt dangereux.
5) Et des médecines naturelles ?
Par médecine naturelle, il faut entendre les compléments alimentaires naturels
et les plantes médicinales. Beaucoup n’ont pas attendu pour en utiliser
certaines avec succès. On sait en effet que bien des plantes ont des vertus
antivirales, notamment par leurs huiles essentielles. A ce sujet , il est
incompréhensible que certains fassent un amalgame entre des plantes anti-inflammatoires
et stimulantes de l’immunité, et les anti-inflammatoires médicamenteux dont on
sait la dangerosité dans cette pathologie. Car rien n’a été prouvé dans ce
domaine. Je pense notamment à la camomille, à l’échinacea, etc. je me demande
si ceux qui ont déclenché cette polémique savent ce dont ils parlent ?
En conclusion (temporaire) : cette pandémie aura eu le
mérite de révéler certaines insuffisances, tant au niveau de la communication,
que de l’impuissance généralisée à gérer un phénomène qui pourrait dans les
années à venir se répéter et s’amplifier.
A méditer ?
RépondreSupprimerOui, très certainement car rien n'étant lié au hasard, on pourrait trouver d'autres raisons à ce qui arrive sur le plan mondial
RépondreSupprimerMerci pour la réflexion
RépondreSupprimerMerci pour toutes vos informations. Nous ne manquons pas de les diffuser autour de nous.
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