mardi 28 décembre 2021

De nouvelles complications post vaccinales

 Outre les 110 000 effets secondaires déclarés en France, dont 25% de graves, voici les récentes complications liées aux injections d'ARN :

 

Hépatites auto-immunes associées aux vaccins Comirnaty et Spikevax 

Pseudopolyarthrites rhizoméliques comme pouvant être liées au vaccin Comirnaty. 

3 870 cas de troubles menstruels ont été observés après vaccination avec Comirnaty et 562 cas après vaccination avec Spikevax / Les principales manifestations sont des saignements anormaux (les métrorragies, ménorragies) et des retards de règles et aménorrhées. Ces effets sont survenus aussi bien après la première injection, qu'après la deuxième injection.

https://francais.medscape.com/voirarticle/3607969

avec le le vaccin Comirnaty 6 cas graves de syndrome de Parsonage-Turner (névralgie amyotrophiante) dont 4 sur la période du 3 au 16 septembre. Ce syndrome est caractérisé par une douleur violente d'apparition brutale de l'épaule suivie d'une paralysie du bras. 

Entre l’élargissement de la campagne vaccinale au-delà de 12 ans et le 26 août 2021, 591 cas d’événements indésirables potentiels ont été rapportés aux Centres de Pharmacovigilance pour des sujets de 12 à 18 ans avec le vaccin Cormirnaty 

Parmi ces 591 cas, 35,2 % étaient considérés comme graves. La majorité de ces événements graves correspondait à des cas de réactogénicité, malaise ou malaise post‐vaccinal, suivis par les myocardites/péricardites . A noter que trois cas de syndrome inflammatoire multi‐systémique pédiatrique ont été transmis après la fin du période de suivi pour ce rapport.

Au total, 33 cas de myocardite et 15 cas de péricardite ont été rapportés à la date du 26 août. Dans 8 cas sur 10 la douleur thoracique était un des premiers symptômes évoqués.

dimanche 26 décembre 2021

L’injection d’ARN messager ne semble pas immuniser la population contre les virus !

 


On assiste d’ailleurs de plus en plus à une recrudescence de contaminations chez les personnes vaccinées. Plus grave encore leur immunité chute au bout de 9 à 10 semaines après l’injection (dite vaccinale). (l'agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni vient de publier une étude qui démontre une immunité en baisse dix semaines seulement après le rappel).

Tout se passe comme si l’immunité produite par l’injection d’ARN messager devenait de moins en moins  active, au fur et à mesure des vaccinations ! Pourquoi ? On peut se poser la question et formuler une hypothèse : la suivante.

L’ARN messager que l’on injecte donne l’ordre à nos cellules de fabriquer la protéine spike (spicule du virus ) : une substance dangereuse pour l’organisme que le corps doit éliminer le plus rapidement possible. Les cellules immunitaires sont donc dirigées non pas contre le virus mais contre la spike, une substance dont le virus se sert pour pénétrer dans les cellules.

La présence d’anticorps ne signifie donc pas que l’organisme peut se débarrasser du virus. Sinon les personnes vaccinées ne seraient plus contagieuses comme elles le sont actuellement.

Pour expliquer la perte d’immunité rapide, on peut émettre l’hypothèse que le corps se satisfait de la destruction des spicules ; et de ce fait il détourne son immunité non pas contre le virus mais contre ses propres cellules qui ont fabriqué la Spike. Tout se passe comme si les organes lymphocytaires reconnaissaient une agression non pas venant de l’extérieur mais venant de l’intérieur du corps.

On peut se demander si vraiment les injections d’ARN protégeront contre les formes graves, en cas de nouvelle a mutation puisqu’il ne reconnaîtra pas l'intrus ni ses spikes.

samedi 25 décembre 2021

Omicron ciblerait les vaccinés ?

 Une étude danoise bien confirmer la publication du Lancet qui montre que les injections d'ARN messager ne protègent pas contre les mutations du coronavuris : l'information a été relayée par l'épidémiologiste Martin Blachier : cette étude montre en effet que comparativement les vaccinés sont plus atteints que les noms vaccinés par le virus Omicron :

Ainsi Le virus OMICRO a touché à ce jour !:
8% chez les triples vaccinés
5,5% chez les doubles vaccinés
1,2% chez les non-vaccinés

Omicron sélectionne les vaccinés car l'échappement vaccinal lui confère un avantage chez ces personnes.

 


 



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vendredi 3 décembre 2021

Les vaccinés sont peut-être des personnes plus à risque que les non vaccinés d'apres le LANCET

 

Conclusion de l'étude qui vient d'être publiée dans le LANCET 

 "Il semble que ce soit faire preuve d'une grave négligence que d'ignorer la population vaccinée en tant que source possible et pertinente de transmission lorsqu'on décide de mesures de contrôle de santé publique."


 

l'étude du Lancet montre en effet :  

  • La part des personnes vaccinées dans la transmission de la covid -19 est en augmentation constante
  •  
  • Les personnes vaccinées transmettent la maladie autant que les non-vaccinés à leurs contacts familiaux
  •  
  • La charge virale maximale est identique entre les vaccinés et les non vaccinés
  •  
  • Au royaume Uni, la probabilité d’avoir le covid était plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés pour toutes les personnes de plus de 30 ans.
  •  
  • Dans un cluster israélien causé par un vacciné, 14 personnes vaccinées ont eu des formes graves et sont décédées pour certaines alors que les deux seules personnes non vaccinées ont eu des formes légères.

 https://www.thelancet.com/journals/lanepe/article/PIIS2666-7762(21)00258-1/fulltext?s=08%23%20

 

traduction du résumé de l'article :

"On s'attendait à ce que des taux élevés de vaccination contre le COVID-19 réduisent la transmission du SRAS-CoV-2 dans les populations en diminuant le nombre de sources possibles de transmission et, par conséquent, à ce qu'ils réduisent la charge de la maladie du COVID-19. Cependant, des données récentes indiquent que la pertinence épidémiologique des individus vaccinés contre le COVID-19 augmente. Au Royaume-Uni, il a été décrit que le taux d'attaque secondaire parmi les contacts familiaux exposés à des cas index entièrement vaccinés était similaire à celui des contacts familiaux exposés à des cas index non vaccinés (25 % pour les vaccinés contre 23 % pour les non vaccinés). 12 des 31 infections chez les contacts familiaux entièrement vaccinés (39 %) provenaient de cas index entièrement vaccinés et épidémiologiquement liés. La charge virale maximale ne différait pas selon le statut vaccinal ou le type de variante [[1]
]. En Allemagne, le taux de cas symptomatiques de COVID-19 parmi les personnes entièrement vaccinées (" breakthrough infections ") est rapporté chaque semaine depuis le 21. juillet 2021 et était alors de 16,9 % chez les patients âgés de 60 ans et plus [[2] ].
]. Cette proportion augmente de semaine en semaine et était de 58,9% le 27. Octobre 2021 (Figure 1), ce qui prouve clairement la pertinence croissante des personnes entièrement vaccinées comme source possible de transmission. Une situation similaire a été décrite pour le Royaume-Uni. Entre les semaines 39 et 42, un total de 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés parmi les citoyens âgés de 60 ans ou plus. 89 821 sont survenus chez les personnes entièrement vaccinées (89,7 %), 3 395 chez les personnes non vaccinées (3,4 %) [[3]
]. Une semaine auparavant, le taux de cas de COVID-19 pour 100.000 était plus élevé dans le sous-groupe des vaccinés que dans le sous-groupe des non-vaccinés dans tous les groupes d'âge de 30 ans ou plus. En Israël, une épidémie nosocomiale a été signalée, impliquant 16 travailleurs de la santé, 23 patients exposés et deux membres de la famille. La source était un patient entièrement vacciné contre le COVID-19. Le taux de vaccination était de 96,2 % parmi toutes les personnes exposées (151 travailleurs de la santé et 97 patients). Quatorze patients entièrement vaccinés sont devenus gravement malades ou sont décédés, les deux patients non vaccinés ont développé une maladie légère [[4]
]. Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) identifient quatre des cinq comtés ayant le pourcentage le plus élevé de population entièrement vaccinée (99,9-84,3 %) comme des comtés à transmission "élevée" [[5] ].
]. De nombreux décideurs partent du principe que les personnes vaccinées peuvent être exclues en tant que source de transmission. Il semble que ce soit faire preuve d'une grave négligence que d'ignorer la population vaccinée en tant que source possible et pertinente de transmission lorsqu'on décide de mesures de contrôle de santé publique."

Fin de l’omerta sur les effets secondaires des vaccins ARNm

  Il n’est plus possible de cacher au public les risques que l’on court à se faire vacciner par le vaccin ARNm.?? Il n’est plus possible d...