On assiste d’ailleurs de plus en plus à une recrudescence de contaminations chez les personnes vaccinées. Plus grave encore leur immunité chute au bout de 9 à 10 semaines après l’injection (dite vaccinale). (l'agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni vient de publier une étude qui démontre une immunité en baisse dix semaines seulement après le rappel).
Tout se passe comme si l’immunité produite par l’injection d’ARN messager devenait de moins en moins active, au fur et à mesure des vaccinations ! Pourquoi ? On peut se poser la question et formuler une hypothèse : la suivante.
L’ARN messager que l’on injecte donne l’ordre à nos cellules de fabriquer la protéine spike (spicule du virus ) : une substance dangereuse pour l’organisme que le corps doit éliminer le plus rapidement possible. Les cellules immunitaires sont donc dirigées non pas contre le virus mais contre la spike, une substance dont le virus se sert pour pénétrer dans les cellules.
La présence d’anticorps ne signifie donc pas que l’organisme peut se débarrasser du virus. Sinon les personnes vaccinées ne seraient plus contagieuses comme elles le sont actuellement.
Pour expliquer la perte d’immunité rapide, on peut émettre l’hypothèse que le corps se satisfait de la destruction des spicules ; et de ce fait il détourne son immunité non pas contre le virus mais contre ses propres cellules qui ont fabriqué la Spike. Tout se passe comme si les organes lymphocytaires reconnaissaient une agression non pas venant de l’extérieur mais venant de l’intérieur du corps.
On peut se demander si vraiment les injections d’ARN protégeront contre les formes graves, en cas de nouvelle a mutation puisqu’il ne reconnaîtra pas l'intrus ni ses spikes.
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