1 : LE vaccin ARN est-il facilitant : c'est-à-dire qu’il favoriserait l’épidémie en permettant des mutations sélective adaptative du virus et donc sa propagation ; sans qu’on sache si la mutation le rendra plus virulant et mortel ou pas ? dans ce cas même les personnes vaccinées ne seront pas immunisées.
Hypothèse : après vaccination par l’ARN messager : le brin d’ARN injecté dans le bras fait fabriquer aux cellules musculaires humaine des spicules du virus : le corps va ensuite produire des anticorps contre ces spicules : un virus entrant par ne nez va alors être attaqué sur ses spicules !
Or : les rhinoviorus et les coronavirus ont une caractéristique : ils ont la possibilité, tout en restant dans les fosses nasales, de se transformer et de muter. C’est ce qui explique pourquoi un enfant contaminé par un de ces virus en automne, peut se retrouver avec un rhume chronique tout l’hiver, simplement parce que ce virus s’est transformé.
Conclusion : le fait que la mutation du virus que l’on observe en Angleterre porte sur les spicules (qui normalement devaient être attaqué par le vaccin ARN actuel) , peut laisser penser que c’est justement ce vaccin qui a favorisé la mutation dans différents pays, : ce qui rend en théorie le vaccin ARN inopérant sur le nouveau mutant du virus et qui fait craindre que ce soit le vaccin lui-même qui ait provoqué la propagation de la mutation.
2 : l’ARN messager d’un virus peut-il intégrer le génome de l’ADN humain ? En théorie non, sauf si cette possibilité est encore ignorée par la science ! Certains évoquent l’action de certains rétrovirus capable de retransformer l’ARN en ADN. Ainsi, que se passe –t-il si la personne est déjà infectée sans le savoir par ce type de virus ?
Voir un article instructif publié en décembre dans le monde :